une longue est belle mort d'un corps sans effort
le temps n'efface pas les doutes, les douleurs d'un corps
l'homme marche sans but si ce n'est la vie
car jour après jour de plus en plus ont s'ennuis
la faiblesse s'accumule chaque jour chaque semaines
les pas dur et dur jusqu'à ce que souffrent les veines
plus t'avance plus ton corps se blesse et se déchire
tu sans en toi tes os se sentir enfin libre
des ligaments souffre s'étire et transpire de sang
pour casher alors ta faiblesse tu mets alors des gants
chaque heure tu te sens de plus en plus seul
mais chaque jour tu te dis je vais aller ailleurs
mais tes bloquer tu reste la droit comme un balai
et tu fixe d'un regard l'horizon et la ces pas gaie
tu transpire de peur quand à chaque lever de soleil
tu te sens magnétiser par ton lit si douillet
alors en toi tu pleure tu te demande ou tu va
et sans te mentir tu veux rejoindre l'au-delà
plus t'avance dans une vie plus tu souffre
plus t'avance, plus de chose alors s'efface pour toujours
alors dit toi qu'il faut profiter au maximum chaque seconde
pour ne pas louper si ce n'est de voir le monde
avance tire sur tes jambes fait ce pas qui te bloc
tes muscles même froid te suivrons jusqu’a la porte
lève toi chaque matin, lève toi même de ton corps
voit le monde extérieur et voit tout ces effort
que tu devrai faire pour vivre en paix avec ta vie
car se lever n'est pas le pire des ennuis
chaque nuit rêve de l'avenir comme si c était ta vie
chaque jour cour sur l'avenu et montre ton rire
chaque jour bouge des muscles bouge tes os
car t'avancera a rien si chaque semaine tu n'ose
rit, rit, sourit, sourit, mais ne perd jamais la joie de vivre
la vie est dur mais pas plus dur que tes années vécu

Catégories : textes poetiques
Un fils ne dit jamais
Inoubliée
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